Pourquoi investir dans un GFV ?

Le GFV ou Groupement Foncier Viticole est premièrement un investissement « plaisir », donc très attractif. Il s’agit en réalité d’un placement sur le long terme qui permet de diversifier le patrimoine et d’en tirer par la suite des avantages fiscaux et successoraux. Lorsqu’on s’acquiert une part de GFV, cela signifie qu’on obtient une parcelle de vignes qui sera entretenue et exploitée par un viticulteur. On en tire en conséquence des revenus qui seront calculés en fonction du nombre de parts détenus.

Une meilleure situation fiscale

Grâce à un investissement GFV, on bénéficie d’une rentabilité potentielle mais également à une situation fiscale sereine et à des avantages patrimoniaux. Une petite partie des parts de GFV dans la base imposable de l’ISF. Le taux d’exonération est 75 % des valeurs des parts qui s’estiment au maximum à 101897 euros. Dans le cas où la valeur dépasse ce seuil, ce taux est de 50 % et cela est valable dès la deuxième année du contrat.

La transmission successorale

Avec un placement GFV, la transmission successorale s’effectue sans aucun souci. On peut accéder à une exonération partielle de droits de succession et de donation. Le bénéficiaire doit demeurer le propriétaire des parts pendant une durée de 5 ans. Pour le cas de donation, le profit de l’exonération est subordonné à d’autres conditions. Notons que les parts doivent obligatoirement appartenir au donateur depuis plus de 2 années.

La revente des parts

L’investisseur peut décider éventuellement la revente de ses parts de GFV. Que se passe-t-il dans ce cas ? La réalisation d’une plus-value est certaine ; la contrainte, c’est lorsque la revalorisation est impérative alors que très peu est le nombre de groupements qui peut effectuer cette opération. Quoi qu’il en soit, il faut savoir que le prix d’une part GFV augmente quand la parcelle ne fait plus l’objet d’une exploitation par l’exploitant. Investir dans un groupement foncier viticole c’est la réalisation d’une plus-value dès la revente des parts.

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